Il est impossible de vivre sa vie sans passer par des situations difficiles, plusieurs d’entre elles sont extrêmement marquantes. La mort d’un être cher, une perte matérielle, une trahison ou être victime de violence de tout type en sont quelques exemples.

Mais, malheureusement, plusieurs personnes ne vivent pas la douleur seulement une fois. Parce qu’elles n’arrivent pas à enterrer ce qui leur est arrivé et à aller de l’avant, elles revivent le problème pendant des années et, pour plusieurs cas, toute leur vie. Le temps, des conseils ou le soutien familial ne sont pas suffisant pour les rendre libres. « Toutes les fois où elles s’efforcent d’être différentes, elles se rappellent de ce qu’elles ont vécu. Elles essaient même d’aller de l’avant, mais l’esprit du passé continue autour d’elles » dit l’Évêque André Cajeu.

À ce sujet, l’Évêque Renato Cardoso présente une liste qui montre 7 symptômes de la personne qui vit dans le passé. Voyez-les ci-dessous :

  • Nostalgie – elle se rappelle tout le temps de ce qui était bon dans le passé et n’arrive pas à être heureuse dans le présent. C’est plus qu’un rapide souvenir sporadique.
  • Elle ne fait pas de plans – elle a beaucoup de difficultés à faire des plans pour le futur et reste arrêtée dans le temps.
  • Elle parle seulement du passé – Toutes les fois qu’elle discute avec quelqu’un, le sujet est le même : revivre ce qui est passé.
  • Traumatismes – un fait qui l’a beaucoup marquée et dont elle n’a pas réussi à guérir la blessure.
  • Dépression – conséquence de souffrir un traumatisme et de ne pas réussir à le surmonter.
  • Insécurité – fait qu’elle n’essaie rien de nouveau ou d’audacieux. Une personne qui a été trahie, par exemple, a beaucoup de difficulté à de nouveau faire confiance.
  • Désir de mourir – c’est comme si la personne ne réussit pas à visionner le futur, que sa vie sera meilleure et qu’elle voit la mort comme l’unique solution.

Dans des cas extrêmes, où rien ne semble être capable d’arracher le chagrin, la haine ou la douleur du passé, il y a un esprit malin qui alimente la situation, afin d’opprimer et de maintenir sa victime stagnée, incapable d’avancer dans sa vie. « Par le biais de la foi, la guérison est possible, car pour elle il n’y a pas d’impossibles. La médecine a ses limites, mais pas la foi », rajoute l’Évêque Renato.

Pour combattre ce mal, il y aura ce vendredi la chaîne de délivrance pour les personnes prisonnières du passé. « La foi n’est pas prisonnière du calendrier, elle n’est pas limitée au temps, alors nous allons par la foi dans votre passé et défaisons les liens afin que vous soyez libre pour construire un nouveau futur » souligne l’Évêque.

Cherchez l’Universel le plus proche de votre maison en cliquant ici et participez à la chaîne de délivrance.

Source : Universal