«Nous savons, en effet, que, si cette tente où nous habitons sur la Terre est détruite, nous avons dans le Ciel un édifice qui est l’ouvrage de Dieu, une demeure éternelle qui n’a pas été faite de main d’homme.»
(2 Corinthiens 5:1)

La maison terrestre mentionnée par les Écritures est le corps, qui abrite l’âme temporairement dans ce monde et qui, avec le temps, se détruit naturellement. Le corps perd ses forces et sa vigueur, et les cheveux deviennent rares et blanchissent. C’est une réalité que tout être humain finit par expérimenter, et ceux qui ont déjà passé le printemps de la jeunesse le constatent clairement.

Mais ceux qui meurent sauvés reçoivent de Dieu un corps ressuscité, glorifié, céleste et éternel, ainsi qu’un nouveau nom (cf. Apocalypse 2:17) et une nouvelle Jérusalem, un lieu que personne n’a jamais connu, pas même Lucifer, qui fut un ange de lumière.

Et comment y entrer ? Le Texte sacré répond :
«Si du moins nous sommes trouvés vêtus et non pas nus.»
(2 Corinthiens 5:3)

C’est-à-dire, revêtus des vêtements du salut, préparés par le Seigneur Jésus.

Quand l’homme et la femme habitaient dans le jardin d’Éden, ils allaient nus. Mais le péché leur fit ressentir la honte et les poussa à se couvrir de feuilles. Aujourd’hui, pour cacher leurs fautes et leur nudité spirituelle, les êtres humains n’inventent plus des vêtements de feuilles, mais des religions. Un système religieux imagine ce qui rendrait une personne plus « sainte » devant Dieu et, à sa manière, invente des doctrines qui divisent les peuples.

Or, l’Église du Seigneur Jésus n’est pas une religion : elle est Son extension dans ce monde. Celui qui est de Dieu obéit à la Tête, et ainsi il est sauvé. Mais celui qui est du monde cherche des feuilles pour couvrir son péché. Et Dieu n’accepte pas les feuilles. Il sacrifia un animal pour couvrir Adam et Ève, et plus tard Son propre Fils pour couvrir le péché de l’humanité.

Ainsi, personne n’entrera au Ciel sans être revêtu de l’Agneau. Aucune religion ne peut donner cet accès, car Jésus est le seul chemin :
«Jésus lui dit: Je suis le chemin, la vérité, et la vie. Nul ne vient au Père que par moi.»
(Jean 14:6)