Avant d’appartenir à une école, à un club, à une église, à un quartier, à une ville, à une nation ou à un continent, nous appartenons à une famille. C’est avec elle que nous apprenons – ou que nous devrions apprendre – à suivre les règles, à respecter notre prochain et à faire partie d’un mécanisme plus grand où nous sommes une pièce importante.

C’est exactement pour cela que, lorsqu’une famille est détruite, tous perdent à l’intérieur et à l’extérieur d’elle. La société se détruit à sa racine. Actuellement, la famille parait être à la dérive, même perdue. De plus, il y a les invitations modernes de la technologie – chaque membre de la famille a le visage plongé dans le téléphone portable, l’ordinateur ou la télévision, sans converser –, la consommation exagérée et l’exubérance de médias néfastes « éduquant » les enfants, dont les parents, même s’ils sont présents physiquement, sont absents de la vie de leurs enfants.

Malgré cela, Dieu cherche toujours à édifier l’être humain par le biais de sa famille. Au final, c’est Lui qui l’a créée.

Le modèle constitué par Dieu

Dans le livre Le Profil de la Famille de Dieu, l’Évêque Edir Macedo dit que « même si de nos jours, la société moderne discute beaucoup au sujet de la composition familiale, selon la Bible, nous apprenons que la constitution basique de la famille est celle qui comporte les parents et les enfants. Grands-parents, oncles, cousins, beaux-frères et autres êtres chers peuvent être ajoutés ou considérés. Mais nous sommes ici en train de parler de la famille dont le modèle est constitué selon la Parole de Dieu ».

Et la manière dont les membres d’une famille interagissent est très importante, tout comme leur éducation, éclaircit l’Évêque : « les enfants ne doivent jamais occuper la place de la mère ou du père. Lorsque l’un des conjoints remplace l’autre par les enfants, c’est comme s’il était en train de s’enterrer lui-même avec son mariage ; car les deux ne sont-ils pas une seule chair ? », questionne-t-il.

Le diable peut attaquer la famille par le biais de l’infidélité, des addictions, de la pornographie, du manque de respect, des disputes, etc. mais il peut seulement faire cela lorsque la famille n’a pas la plus grande de toutes les bases : « si notre cœur est en nos enfants, parents, frères, en notre mari, notre femme, ou en tout autre chose de ce monde, lorsque nous les perdons, nous perdons aussi notre propre raison de vivre ; mais si notre cœur est au Seigneur Jésus, alors il sera en sécurité pour toute l’éternité et il ne pourra jamais être secoué ou détruit », cite l’Évêque dans un passage du livre.

Avec Dieu comme commencement, milieu et fin en tout ce qu’une famille fait et est, la société elle-même ne peut que gagner, car elle commence déjà de l’unique manière correcte.

Source : Universal