Le terme fake news (fausse information, en traduction littérale) a été élu comme expression la plus mise en avant de l’année 2017 par le dictionnaire britannique Collins, appartenant à l’une des plus importantes institutions académiques du monde, l’éditrice Harper Collins.

Cela est arrivé parce qu’avec la croissance exponentielle des réseaux sociaux, le nombre de personnes intéressées à partager des mensonges déguisés en informations vraies a aussi augmenté. Ces rumeurs ont commencé à être appelées fake news et font des millions de victimes tous les jours. Autant ceux qui sont diffamés par les mensonges que ceux qui les partagent en sont victimes.

Le mal que les mensonges font

Le conseiller financier Carlos Alberto Bernades, de 45 ans, se souvient que durant plusieurs années, il a entendu une grande partie des médias accuser l’Évêque Edir Macedo de crimes sans qu’il n’y ait aucune preuve :

« J’ai entendu beaucoup de choses de la part des médias : charlatan, voleur… et je marchais beaucoup en fonction de ce que les médias me passaient, qu’ils n’offraient rien, qu’ils volaient. J’avais même une certaine peur de perdre mes enfants à l’école de l’église, qu’ils volent mes enfants… »

En croyant aux fausses informations, Carlos Alberto a développé une aversion si grande contre l’Universel que des problèmes conjugaux ont surgi, puisque son épouse était membre de l’Église.

L’Évêque Edir Macedo révèle que la haine religieuse contre l’Universel est alimentée par de fausses informations, ce qui fait que les plus grandes victimes sont ceux qui croient en de tels mensonges.

« J’ai été détesté par des personnes que je n’ai jamais connues, contre qui je n’ai jamais rien fait de mal. Jamais. Mais elles, parfois, me détestent vraiment », raconte l’Évêque. « Mais pourquoi nous détestent-elles ? Parce que les fausses informations apportent aux personnes qui y croient l’esprit du mal, l’esprit du mensonge, de la tromperie, de l’antéchrist, du diable. Ça c’est la réalité. Alors, la personne reste possédée par cet esprit et commence à me haïr, à haïr l’Église sans jamais être venue à l’Église ».

5 conseils simples pour ne pas être victime

L’avocat Dr. Luiz Augusto d’Urso, Président de la Commission Nationale des Études des Cibercrimes de ABRACRIM (Association Brésilienne des Avocats Criminalistes), enseigne les 5 principaux pas pour ne pas être trompé par les fake news :

  • Méfiez-vous des titres sensationnels, généralement ils servent seulement à mentir ou à attirer des clics vers le site.
  • Lisez le reportage. Étant donné que les titres ne sont pas si fiables qu’ils y paraissent à première vue, lisez toujours la nouvelle en entier.
  • Prêtez attention à ce que vous lisez. Des erreurs grammaticales et des dates étranges ont l’habitude d’apparaître dans les fake news. Des histoires répétées aussi. Par exemple, à chaque nouvelle Coupe du Monde, il surgit la nouvelle « Si vous saviez ce qui est arrivé durant ce jeu, vous seriez choqué ». C’est toujours le même texte, depuis 2002…
  • Recherchez l’information sur des sites fiables. Si c’est vrai, ils donneront presque tous la nouvelle.
  • Ne partager JAMAIS sans être sûr. Celui qui partage des fake news parce qu’il n’a pas cherché la vérité est victime, mais est aussi coupable du fait de transmettre le mensonge.

Source : Universal.org